Archives de la catégorie 'Marketing et génération de contenu'
Le principal intérêt d’un journal d’entreprise ou d’une newsletter est de permettre à l’entreprise de garder un contact récurrent avec ses clients et de leur transmettre, sous une forme originale des informations commerciales importantes. A condition que newsletter ne rime pas avec galère ! Cet outil, s’il est bien utilisé et appréhendé par l’entreprise, peut se révéler une redoutable arme commerciale et marketing ! Alors pourquoi s’en priver ?
De la difficulté de mettre en œuvre les newsletters et autres journaux d’information (sans parler des articles de blogs…)
Pour mettre au point et tirer pleinement parti d’une génération de contenu régulière au travers d’une newsletter, il est indispensable de parvenir à éviter les difficultés inhérentes à ce type de communication à savoir :
- Maintenir une périodicité qui permette de fidéliser ses clients sans condamner vos équipes à être perpétuellement en comité de rédaction (tous les mois c’est trop, tous les ans c’est peut être pas assez J!)
- Définir une ligne éditoriale qui soit basée sur du contenu de qualité – à visée commerciale d’accord mais du vrai contenu – et non sur une simple promotion de vos produits. Lister les dernières nouveautés de votre produit ou la promo du mois transforme vite votre newsletter en email (ou courrier) puremet commercial. En résumé, dans votre newsletter, vous devez aborder des sujets – centrés autour de vos problématiques métier – qui intéressent vos clients, qui les éclairent sur leur marché, qui leur apporte une vraie valeur ajoutée : astuces, dossier, interview, retour d’expérience, chiffres clés du secteur, etc…
- Limiter l’aspect chronophage de la newsletter en privilégiant la réutilisation (textes de blogs, tribunes d’expert, textes ud site web, etc.) et, si cela est possible, en confiant la rédaction des textes à une plume à la fois capable d’écrire des textes de qualité et de tenir compte de vos impératifs et objectifs marketing. Cela s’appelle un rédacteur marketing, un spécialiste de la génération de contenu, un copywriter… appelez le comme vous voulez : ni publicitaire, ni journaliste, il a développé une méthodologie de travail efficace, rédige des textes à visée marketing et génère du contenu métier en phase avec les attentes de vos clients.
Mettre en place une méthodologie qui privilégie la réutilisabilité et l’efficacité
Une newsletter ne nécessite pas systématiquement de réinventer la poudre. Vous disposez déjà de tout le matériel nécessaire pour alimenter vos journaux d’information à condition de générer régulièrement du contenu métier pertinent :
- Retours d’expériences clients
- Tribune d’experts
- Plaquettes produits
- Actualités et promotions
- Articles de blog
Tous ces éléments sont des sources non négligeables de contenu exploitable sous diverses formes et réutilisable aisément sur vos blogs, pages des réseaux sociaux et autres outils du web !
Organisation des interviews, gestion du contenu éditorial, respect de délais, relance pour la validation, suivi des graphistes, relecture… La méthodologie reste un élément majeur de la réussite de ce type de projet car nous le savons : ces outils sont souvent très chronophages et surtout… c’est un peu comme le sport. On n’a jamais le temps d’en faire sauf quand on met son cours de Pilates ou de Piloxing dans son agenda + alarme dans le smartphone. Pour les newsletters même combat !
L’envoi de newsletters et de journaux d’information fait partie intégrante de la stratégie de génération de contenu. Mais attention, pas à n’importe quel prix. Rappelez-vous que :
- Les newsletters doivent être pour vous le moyen de développer l’image de l’entreprise, pas de perdre votre temps et celui de vos équipes…
- Le plus important, ce n’est pas la newsletter en elle-même… c’est ce qu’il y a dedans… la qualité du contenu participe pleinement au succès de votre newsletter
- Écrire une newsletter nécessite une bonne dose de méthodologie et de rigueur, un zeste d’autorité et une bonne plume. Si vous n’avez pas les ingrédients en interne, faites cuisiner la recette à l’extérieur !
9 règles de base pour réussir (ou pas ! ) son bulletin municipal (et toute autre publication)…
…quand on est une commune de moins de 5000 habitants et qu’on ne peut pas se payer une grande agence parisienne ?
(des conseils qui fonctionnent aussi pour une PME qui édite un journal d’information….)
Élément indispensable, voire stratégique, de la communication des communes, le bulletin municipal n’en reste pas moins la bête noire des élus et des agents territoriaux en charge du projet. En particulier dans les petites structures. Qui écrit les articles, qui va gérer l’imprimeur, qui donne le BAT, en un mot comment procéder pour faire cesser la « sacro sainte » galère de la réalisation du bulletin municipal ? Cet article m’a été inspiré par l’un de mes clients, Directeur Général de Services d’une commune de 4000 habitants qui, à chaque fois que je le relançais au sujet du bulletin municipal, commençait par me dire : « Ah c’est vous ? Pffff… ». Non pas que nous ne travaillions pas en harmonie, au contraire. Simplement, ce sujet était source de tracasseries pour lui plutôt que de plaisir. Et pourtant… Il y a pire que de réaliser le journal d’une commune. On y rencontre des gens merveilleux, on redécouvre les coins qu’on ne connaissait plus, on réinvente l’histoire et on se rappelle pourquoi il y fait bon vivre… Voici donc quelques règles de base pour réussir (ou pas) son bulletin municipal…
Règle n°1 : ne pas confondre le bulletin municipal avec un outil de propagande
Au concours de « ma trombine partout », célèbre rubrique du Canard Enchainé, nombre de maires gagnent. J’ai ainsi pu lire un bulletin municipal rassemblant 28 photos du maire sur 24 pages… Le bulletin municipal n’est pas la lettre du maire et s’il est de bon ton qu’il signe l’édito, il ne s’exprimera pas sur des sujets polémiques, réservant son avis politique pour d’autres supports.
Règle n°2 : définir un objectif, une périodicité, un style, bref une stratégie éditoriale !
Un bulletin municipal, comme toute publication d’entreprise, a vocation à informer une cible spécifique, à savoir, dans notre cas : la population. Mais pour cela, il faut définir une ligne éditoriale et une stratégie associée : fait-on de la publicité ou non, fait-on parler les élus ou pas, quelles seront les rubriques que les habitants auront plaisir à lire, quelles informations je peux transmettre ? avant d’écrire il faut réfléchir…
Règle n° 3 : s’organiser pour respecter la périodicité
Un bulletin municipal, on en publie combien par an? Il n’y a pas de règle évidemment mais le plus important reste encore et toujours de respecter les délais (c’est le moment où le Directeur Général des Services pense sans le dire : « si on prend du retard, on en fera que 3 au lieu de 4 et ça en fera toujours un de moins sur mon budget de cette année… »). Pour cela, il est indispensable de disposer d’un chef de projet interne et d’un prestataire externe dont le rôle sera justement de pousser tous les intervenants à être dans les délais.
Règle n°4 : ne pas confondre un beau bulletin avec un bulletin qui sera lu…
« Il est pas très moderne le bulletin moi j’ai vu celui de chez mon beau frère, il est plus branché… ». Peut-être… Mais le plus important est de penser aux lecteurs. Le journal doit surtout être facile à lire et adapté à tous les âges (en vieillissant on a besoin de lire des caractères plus gros…) et doit disposer d’une présentation soignée sans céder aux sirènes de l’agence de communication qui privilégiera le look au contenu. Car avoir un beau bulletin ne suffit pas à fidéliser vos lecteurs. Pour que le bulletin joue son rôle, il doit être lu. Et mieux encore … Il doit être attendu ! La vraie mesure du succès de votre bulletin, c’est quand vos concitoyens réclament le bulletin municipal et quand ils trouvent aussi bien des informations sur les prochains travaux que sur l’histoire de leur ville.
Règle n°5 : produire du contenu intéressant (ou pas) et éviter la question fatale : « Bon alors on met quoi dans ce bulletin? On n’a rien à dire ? ».
Vous partagez votre vie avec 4000 personnes et il ne se passe rien dans votre commune ? Tout est intéressant à publier à condition de se rappeler quel objectif on place dans le bulletin… N’oubliez pas que vos concitoyens ne sont pas seulement intéressés par la date de la prochaine fête patronale et que surtout, le bulletin est un excellent support pour faire de la pédagogie… Actualités, vie culturelle, vie économique, journal des associations, dossiers spéciaux (PU, Métropole, rythmes scolaires, etc.), mais aussi anecdotes, interviews de personnalités ou de partenaires de la commune trouveront aisément leur place dans votre bulletin… Pensez également à varier la forme rédactionnelle de vos articles tout en conservant les rubriques : interviews, quizz rigolos, articles de fond sont autant de façon de communiquer de façon plus intuitive et sympathique.
Règle n°6 : désigner un comité de rédaction et un comité de relecture
Confier la rédaction et la mise en page à des professionnels de la communication c’est important mais cela ne fait pas tout. Il est important de créer un comité de rédaction et un comité de relecture pour éviter le fameux : « Allo, c’est M. Le Maire à l’appareil, on peut bloquer le BAT ? Parce que là on n’est pas d’accord sur un article… » Évidemment, ce genre de chose arrive un vendredi soir, sinon ce n’est pas drôle mais cela est souvent la conséquence d’une mauvaise organisation dans la relecture et la définition de la ligne éditoriale. Le comité de rédaction et de relecture est là pour garantir une certaine cohérence et une ligne éditoriale à respecter. Car la confiance n’exclut pas le contrôle!
Règle n°7 : impliquer les élus
Cela vous semble une règle de base? Elle est rarement respectée pour la simple et bonne raison que les élus sont bénévoles (ou presque) et qu’ils n’ont pas toujours le temps ni l’expérience pour participer au bulletin municipal. Il est indispensable de ne pas attendre que le bulletin soit finalisé pour qu’ils donnent leur avis. En revanche, les attendre peut aussi avoir des conséquences sur les délais de production. Informez les principaux tiers concernés de la date de publication et du rétro planning, vous gagnerez du temps. Se pose alors la question de savoir si les élus doivent rédiger des articles. Pas forcément mais, en revanche, il est important qu’ils puissent signer des articles, même s’ils ont été aidés dans la rédaction par une « plume »…
Règle n°8 : éviter de confier la rédaction de l’édito au maire…
« Et l’Édito ? On met quoi dans l’Édito?? » Jamais fini, jamais réfléchi, toujours rédigé au moment de donner le BAT et surtout… rarement inspiré Monsieur le Maire quand il s’agit de rédiger son édito. Arrêtez de le confier au maire… sauf s’il a un don particulier comme rédacteur. Il est préférable de réaliser une interview du maire qui servira ensuite de base à un rédacteur pour finaliser l’édito.
Règle n° 9 : ne pas oublier que la relecture est tout sauf facultative !
Voici en vrac quelques phrases que l’on n’aime pas entendre quand on rédige comme moi des bulletins et des lettres d’informations : « Ah mais ca va pas du tout ce que vous avez écrit là… le maire est d’accord ? Pis c’est parti à l’impression ? On laisse comme ça alors ?». La relecture est un élément indispensable aussi bien pour le fond (informations erronées) que pour la forme (fautes d’orthographes). Il est donc important de s’assurer que le prestataire dispose bien d’un secrétariat de rédaction qui se chargera de faire plusieurs relectures en complément de celles effectuées par les élus et autres responsables dont ce n’est pas forcément le métier.
Le 5 avril 2014, AJEM Consultants fête des 10 ans !
1000 mercis à nos clients, nos partenaires et à tous ceux qui ont cru en nous !
Avec une dédicace spéciale à Isabelle Thomasset, Marie-Line Cancel et Denis Mouchon, qui furent les premiers clients à croire en notre projet !
10 ans de bonheur et d’aventures que nous comptons bien renouveler !
Tribune publiée sur le Cercle les Echos: les dirigeants 1ers outils marketing de l’entreprise
Découvrez la dernière tribune publiée sur le site Le Cercle les Echos, qui traite de ‘importance pour les dirigeants d’utiliser leur image pour porter celle de leur entreprise.
En France, on aime à citer en exemple nos amis québécois pour la pugnacité dont ils font preuve pour défendre la langue de leurs ancêtres sans savoir que chez nous aussi, des obligations existent. Au-delà de ces considérations législatives, localiser le contenu marketing et l’adapter au pays cible, loin d’être une contrainte, se révèle une véritable opportunité pour se démarquer de ses concurrents et développer la proximité avec ses clients.
Il est de tradition, lorsque l’on parle de sauvegarde de la langue française, de valoriser les actions de nos cousins québécois, eux qui ont su imposer, dans les entreprises, des comités de francisation. Peu de Français savent que notre législation en la matière est plus contraignante et plus répressive qu’au Québec. En effet, la loi nº 94-665 du 4 août 1994 relative à l’emploi de la langue française, dite loi Toubon, contraint, en particulier, les entreprises à fournir à leurs salariés toutes informations relatives à l’exercice de leur travail en langue française et à réaliser de nombreuses documentations en français. Général Electric, en 2006, a été condamnée à 500.000 euros d’amende pour non respect de la dite loi.
Cette vidéo, réalisée en 2008 par des québécois qui souhaitaient défendre leur patrimoine culturel, parle d’elle-même sur l’incompréhension qui peut naitre quand on ne parle pas la même langue ou le même langage. (Pour les impatients, vous pouvez aller directement à la minute 3:45).
Transformer une contrainte en véritable atout concurrentiel
Au delà de la conformité règlementaire, localiser le contenu marketing en fonction du pays où l’on souhaite vendre ses produits et services est un véritable atout concurrentiel, et peut-être plus en France, où, bien que la plupart des dirigeants parlent l’anglais, la langue française a toujours leur préférence. Nous sommes tous égaux : nous comprenons mieux notre langue maternelle que celles apprises à l’école… Ne cédons pas à la tentation du « tout anglais » même si, à l’heure des sites communautaires – et de la mondialisation – cela apparait sur le court terme comme un bon choix.
Penser global, agir local : notre langue de travail n’est pas forcément celle de vos clients
Localiser un contenu marketing ne consiste pas à traduire mot à mot un texte rédigé par sa direction marketing. C’est adapter son marketing et sa communication au pays que l’on cible, en y intégrant des données du marché local (habitudes de consommation, concurrents…) ainsi que les éléments culturels et économiques. Cela consiste à rédiger dans la langue cible et à aller parfois jusqu’à changer un nom de produit (une chaine de restaurant qui se nomme Gastro aura du mal à trouver des clients en France) ou réécrire un e-mailing. Localiser, c’est aussi générer son propre contenu marketing (newsletter, cas clients, livre blanc…), qui pourra avoir une réelle valeur ajoutée pour la « corporate » comme on dit.
Quelques idées reçues à oublier rapidement en matière de localisation
- Rédiger son site web et ses documents marketing en anglais sous prétexte que « tout le monde parle anglais » et que « c’est plus facile de maintenir une seule version du contenu » : ce syndrome touche aussi bien les filiales de groupes étrangers que – et c’est le comble ! – des entreprises françaises disposant d’offres à fort contenu technologique. Rappelons à ces dernières que si leurs futurs clients se trouvent partout dans le monde, certains sont français ainsi que les investisseurs et les journalistes… De plus, le français est une langue parlée en Afrique du Nord et de l’Ouest, marchés à très fort potentiel en ces temps de contexte économique difficile, ainsi qu’en Amérique du Nord. S’implanter en France sans version française de son contenu marketing est préjudiciable en termes d’image et en termes de stratégie marketing; surtout si le pays d’origine de l’entreprise est l’objet de tous les fantasmes : le copieur chinois, le plombier polonais, le centre d’appel sénégalais…
- Confondre langue et culture, tradition et pays : si français, ivoiriens, algériens et québécois parlent tous la même langue, ils n’ont ni la même culture ni la même histoire. Ainsi, les québécois sont, avant tout, des Nord-Américains qui parlent français avec leur propre vocabulaire : ils envoient des courriels, chauffent une voiture et vont souper. Attention également à ne pas faire d’amalgame simpliste sous prétexte que la culture de certains pays semble identique vue de France. Ce n’est pas parce que vous mangerez du couscous en Algérie ,au Maroc et en Tunisie que vous goûterez le même plat. Et la différence ne se situe pas uniquement dans les ingrédients: ces pays avec des histoires différentes et des problématiques politiques, économiques et technologique très variées. A travers le Maghreb, vous pourrez voir accès à Internet dans une oasis alors qu’il sera impossible en ville de réserver un billet d’avion avec une CB internationale. Vous-même, aimeriez vous que l’on vous confonde avec un espagnol ou un italien si vous êtes français ?
- Penser que parler une langue suffit à bien l’écrire et confondre traduction avec localisation : vous avez sûrement un cousin qui a faits des études aux USA ou si vous n’en avez pas, vous connaissez un traducteur qui fera l’affaire pour localiser vos documents. Bien parler une langue ou traduire des documents techniques ne signifie pas que l’on sait rédiger des documents marketing : tous mes clients parlent français et pourtant je rédige leurs plaquettes ou leurs témoignages clients… Oubliez les traductions au mot et « Reverso » et faites appel à des professionnels de la rédaction marketing, que les américains appellent des copywriters.
- Fournir des communiqués de presse en anglais à la presse française et vice-versa : non seulement les communiqués de presse français ne se rédigent pas de la même façon que les « press releases » anglo-saxonnes mais, en outre, la pénurie de journalistes dans les rédactions françaises n’est pas propice à la lecture de documents rédigés en langue étrangère.
Localiser son contenu marketing mais aussi son approche commerciale est une des conditions de la réussite d’un développement à l’international, que l’on soit une entreprise française qui cherche à se développer hors de ses frontières ou une entreprise étrangère qui désire s’implanter en France.
Outils d’aide à la vente: choisir les bons outils pour les bons objectifs
Les outils d’aide à la vente – plaquettes, site web, témoignages clients, diaporama , vidéo – sont indispensables pour permettre aux équipes commerciales de soutenir leur discours. Mais tout comme on ne tond pas une pelouse avec un râteau, on n’utilise pas les mêmes outils pour prospecter, fidéliser ses clients ou développer sa notoriété.
Rien ne sert de courir…il faut penser à point
Créer ses outils d’aide à la vente est une étape essentielle – voire essentielle – de la stratégie marketing, mais elle n’est pas le fruit du hasard ou de la mode. Elle nécessite un vrai travail de réflexion et suppose que l’on ait au préalable:
- défini et formalisé un positionnement et un discours société intégrant des notions comme le métier, la vision et la mission de l’entreprise,
- finalisé sa gamme de produits et de services et positionné l’ensemble (les célèbres 4P ou marketing mix qui nécessitent de définir le produit, le prix, le public et la promotion attachés),
- identifié les cibles et les marchés ainsi que le circuit de distribution (réseau direct ou indirect, vente aux particuliers – BtoC, ou vente aux professionnels – BtoB, etc.),
- rédigé un plan d‘action commercial et marketing avec des objectifs précis et atteignables – les fameux objectifs SMART-,
- organisé son équipe commerciale (sédentaire, mobile, téléprospecteur, équipe comptoir, etc.),
- et décrit un tunnel de vente avec chaque étape de la vente de vos produits ou services, de la première prise de contact à la signature du contrat de vente.
L’analyse peut alors commencer sur le contenu et la forme de vos outils d’aide à la vente.
Dans Outils d’aide à la vente, il y a outils…
Vos outils d’aide à la vente ont avant tout un rôle à jouer pour vous aider à signer de contrats et assurer votre développement commercial. Ce n’est pas leur nombre qui en fera le succès mais bien la pertinence des choix effectués dans le fond et la forme de vos outils. En fonction de chaque objectif, de chaque cible et de chaque étape du tunnel de vente, il s’agit de choisir l’outil le plus efficace et qui aura le meilleur retour sur investissement. Ainsi, on privilégiera plutôt :
- une plaquette « société » dans le cadre d’un développement commercial à destination, des grands coptes ou des institutionnels avec avant tout une mise en avant de la mission et de la vision de l’entreprise,
- un site web avec un contenu métier riche pour développer le référencement sur Internet,
- une page facebook si on souhaite développer la notion de communauté et avoir une relation client interactive, qui permet de canaliser la communication de vos clients au sujet de votre entreprise ou de vos produits au sein d’un même espace,
- une présentation courte d’une dizaine de diapositives au format PDF pour envoyer à des professionnels en pièce jointe à une confirmation de RDV,
- un diaporama plus complet pour une présentation orale en soutien aux équipes commerciales lors de leurs RDV,
- des témoignages utilisateurs ou retours d’expérience pour valoriser le savoir-faire de l’entreprise ou présenter un domaine d’expertise sur un secteur d’activité donné,
- des mini-reportages vidéo sur site pour présenter une réalisation concrète chez un de vos clients et éventuellement l’exploiter en présentation orale (conférences, rencontres produits, etc.),
- etc.
De la « maintenance » et de la réutilisation de vos outils d’aide à la vente…
Une fois vos outils créés, encore faut-il s’assurer de leur utilisation par les équipes commerciales et marketing et veiller à ce que les remontées terrain soient faites de façon régulière pour éviter un décalage entre le discours écrit et oral, ou encore, une forme d’improductivité liée au temps passé par les commerciaux à réécrire les outils d’aide à la vente.
Pensez aussi à la réutilisation de vos outils et de leur contenu afin de limiter les temps de création et de mise à jour. Privilégiez ainsi les outils modulaires – une plaquette présentant la philosophie d’une gamme de produits pourra être complétée par des fiches produits indépendantes – et évolutifs – on pourra choisir le format « diapositives » afin de tester un discours avant de créer une plaquette plus complète.
Un vieux proverbe chinois dit qu’ « une méthode fixe n’est pas une méthode ». Cela signifie que vos outils d’aide à la vente doivent aussi évoluer en fonction de votre discours, de votre stratégie et de votre retour d’expérience. Un élément souvent sous-estimé par les directions générales et marketing qui ont parfois tendance à créer pléthore de documents impossibles à mettre à jour de façon simple. Ainsi, pour les entreprises qui travaillent sur des secteurs d’activité spécifiques et très différents, il est souvent plus simple de créer une plaquette généraliste que l’on complètera avec des retours d’expérience par secteur d’activité qui permettront aux prospects de se projeter plus facilement. Et au responsable marketing de limiter le nombre d’outils d’aide à la vente et de faciliter leur mise à jour.
Chez Activ’3D, nous proposons un accompagnement sur les outils d’aide à la vente allant de l’audit à la recommandation et au plan d’action en passant par la création des outils mais aussi « l’implémentation » auprès des équipes commerciales. N’hésitez pas à nous contacter même pour un simple audit.
Exemple de cas client réalisé pour la société Psion France/Motorola services – vidéo et rédactionnel
Voici un exemple de réalisation d’un cas client pour l’un de nos clients qui allie, communiqué de presse, cas client rédactionnel et video.
Ce type de génération de contenu peut être exploité lors de nombreuses opérations de marketing opérationnel et de communication:
- exploitation sur des salons et lors de conférences
- intégration dans des newsletters
- communiqué de presse
- concours et prix
- site web, site communautaire, blog
- etc.
N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus au 06.86.36.53.08 ou au 09.71.22.28.29
« Le livre blanc nous a permis de développer notre image d’expert auprès de nos prospects, de générer près de 50% de nouveaux contacts qualifiés et de gagner encore en crédibilité auprès de nos clients existants. »
Pour fêter les 20 ans de Kimoce, éditeur logiciel spécialisé dans la valorisation des services et l’optimisation des ressources, Patrick Hett a choisi de réaliser un livre blanc sur les « Nouveaux enjeux des DRSG ». L’objectif ? Valoriser l’expertise acquise depuis deux décennies, mettre en lumière les métiers des services généraux souvent déficients en termes d’image et faire de cet outil un vrai vecteur de notoriété . Un pari réussi comme Patrick nous le confirme.
Stéphanie Michel Amato. Pouvez-vous présenter Kimoce rapidement ?
Patrick Hett. Depuis plus de 20 ans, nos experts se mobilisent pour innover et permettre aux services supports de valoriser les services et optimiser les ressources associées afin que l’organisation gagne en robustesse, en agilité et en performance. Kimoce les accompagne en concevant des plateformes logicielles métier, intégrées et modulaires. À l’écoute de nos clients et des grandes tendances du métier, nos solutions participent à la fiabilisation des process et à l’amélioration du service rendu. Nous déclinons notre plateforme par métier afin de proposer une réponse spécifique aux problématiques des équipes supports : « Achats, services généraux et environnement de travail », « SAV, logistique et services aux clients », « Patrimoine, infrastructures et services publics ».
Stéphanie Michel Amato. Dans quel contexte avez-vous réalisé le livre blanc ?
Patrick Hett. Pour les 20 ans de Kimoce, nous avions envie de développer une démarche originale, différente de la communication habituelle. Nous avons souhaité capitaliser sur l’expertise que nous avons rassemblée depuis 20 ans afin de mettre un coup de projecteur sur des métiers mal connus – mais aussi mal reconnus – que sont les métiers du service.
Stéphanie Michel Amato. Quelle a été la démarche ?
Patrick Hett. Nous avons eu une réflexion interne afin de collecter l’information car le contenu diffusé se devait d’être utile pour notre cible.
Nous avions déjà diffusé une tribune d’expert auprès de la presse sur le sujet enjeux des DRSG, dont le succès avait conforté notre démarche.
Nous avons ensuite défini une liste de contributeurs qui pouvaient amener leur expertise (dont de nombreux clients Kimoce avec une couverture mondiale) puis nous avons choisi un prestataire pour la rédaction afin d’avoir une démarche indépendante.
« Nous avons souhaité capitaliser sur l’expertise que nous avons rassemblée depuis 20 ans afin de mettre en lumière des métiers mal connus – mais aussi mal reconnus – que sont les métiers du service. »
Stéphanie Michel Amato. Comment avez-vous exploité le livre blanc dans votre plan marketing ?
Patrick Hett. Tout d’abord, il faut savoir qu’un livre blanc, c’est beaucoup d’énergie et celui-ci en particulier était, en plus, très réussi. Aussi, nous avons souhaité en faire un événement. C’est pourquoi, nous avons profité des trophées de l’ARSEG (Associations des Responsables des Services Généraux) pour lancer notre livre blanc avec, bien entendu, un relais presse et un relais sur le web via notre site.
Par la suite, nous avons fait un Tour de France – qui est même passé par les Dom Tom – avec 12 dates qui ont permis de faire des conférences autour du livre blanc et de rassembler près de 500 participants. Plus de 1000 contacts qualifiés ont également été générés via le site web.
Stéphanie Michel Amato : Que pouvez-vous dire sur les contacts générés suite à cette opération?
Patrick Hett. La qualité de ces contacts est indéniable, c’est très ciblé. Nous avons pu comptabiliser plus de 50% de nouveaux contacts uniquement via internet.
Stéphanie Michel Amato. Quels bénéfices avez-vous pu retirer de cette opération ?
Patrick Hett. Je dirai qu’ils sont de trois types : tout d’abord la notoriété ! Nous avions déjà une très bonne image mais faire l’effort de générer du contenu de qualité, capable d’amener des idées et une réflexion, a été très apprécié par le marché. Ensuite nous avons pu toucher de nouveaux contacts et le troisième point positif est que nos clients, toutes les entreprises ont déjà fait le choix des solutions Kimoce, ont été confortées dans leur choix. Cela nous a aussi permis d’élargir notre audience auprès de consultants qui s’appuie à présent sur le livre blanc pour leurs travaux. Cela va même plus loin puisque notre livre blanc, est utilisé comme support de cours dans certaines formations universitaires Bac+5 spécialisées dans les services généraux.
« Nous avons fait un Tour de France avec 12 dates qui ont permis de faire des conférences autour du livre blanc et de rassembler près de 500 participants. Plus de 1000 contacts qualifiés ont également été générés via le site web. »
Stéphanie Michel Amato : Comment décririez-vous vos relations avec AJEM Consultants et GLC ?
Patrick Hett. Gwendoline Bodineau, notre conseil en relations presse nous a mis en contact avec AJEM Consultants pour la rédaction du livre blanc et nous avons pu bénéficier de l’expérience d’une consultante sachant rédiger, interviewer, mais également synthétiser avec un œil extérieur l’ensemble de l’expertise aussi bien auprès de notre équipe que de nos clients. Le premier critère est, pour nous la compétence, que ce soit dans le cadre d’une consultante indépendante ou d’un grand groupe et le second point c’est la relation humaine ! Nous avons les deux avec Stéphanie et Gwendoline.
Pour en savoir plus sur Kimoce: www.kimoce.fr
Retour d’expérience – générer du contenu pour Psion France (LCMA – GLC – AJEM Consultants)
« La génération de contenu doit se décliner localement afin d’apporter une approche terrain à nos témoignages utilisateurs.»
Depuis 2009, la filiale française de Psion, société anglo-canadienne spécialisée dans la conception de terminaux métier, a choisi la génération de contenu pour mettre en avant son expertise métier. Pour cela, elle externalise cette mission auprès d’AJEM Consultants qui génère et rédige les retours d’expérience (clients et partenaires). Ces témoignages sont également déclinés sous forme de videos et de communiqués de presse avec les sociétés LCMA et GLC, membres du réseau Activ’3D auquel appartient AJEM Consultants. Cette approche locale de la génération de contenu permet d’alimenter le site communautaire du groupe avec du contenu en français et de proposer une approche très terrain aux clients et prospects de Psion.
« Notre force de proposition, en tant que direction marketing, repose essentiellement sur la qualité
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Stéphanie Michel Amato. Pouvez-vous présenter Psion rapidement ?
José Perez. Psion est le pionnier des ordinateurs mobiles de qualité professionnelle et de leurs applications industrielles dans le monde. Notre cœur de métier est l’innovation dans l’informatique mobile professionnelle depuis 1980. En effet, nous avons démarré comme inventeur du PDA et nous proposons aujourd’hui à nos clients, des solutions à leurs problématiques professionnelles. Parmi nos nombreux clients figurent Volkswagen, Ministère de l’Intérieur, BMW, Goodyear, Copenhagen Airports, BNSF… Le « business model » est basé sur l’innovation ouverte, nous travaillons en collaboration directe avec nos clients et nos partenaires pour co-créer de nouvelles versions de produits mobiles, de logiciels et de services qui répondent aux attentes et besoins du marché. Cette collaboration s’appuie sur le site communautaire, www.ingenuityworking.com.
Stéphanie Michel Amato. Quelle est la place de la génération de contenu dans la politique marketing de la filiale française?
José Perez. C’est dans un contexte international (notre siège est à Londres) mais aussi local (nous avons des filiales sur les 5 continents) que nous générons du contenu car nous poussons beaucoup notre web communautaire et les réseaux sociaux pour la promotion de notre image d’expert. Aussi, chaque filiale a intérêt à générer son propre contenu et on peut difficilement imaginer de le faire sans s’appuyer sur des prestataires eux-mêmes locaux.
Stéphanie Michel Amato. Comment est impliqué le marketing sur la gestion du site communautaire de Psion et sur les réseaux sociaux ?
José Perez. Notre force de proposition, en tant que direction marketing, repose essentiellement sur la qualité du contenu généré aussi bien dans le fond que dans la forme. En ce qui me concerne, je suis particulièrement attaché à la qualité rédactionnelle des témoignages clients et des communiqués de presse que nous produisons.
« En matière de génération de contenu, après la phase euphorique de mise en place d’outils en ligne, nous ne devrions pas perdre de vue ce qui fera toujours la différence : la créativité ! » |
De même pour le format vidéo des retours d’expérience, nous recherchons une qualité professionnelle pour garantir notre crédibilité. Et qui dit qualité, dit travail sur le terrain avec des prestataires qualifiés pouvant nous apporter les compétences et les ressources dont nous ne disposons pas forcément en interne.
Stéphanie Michel Amato. Quelles sont, à votre avis, les perspectives en matière de génération de contenu ?
José Perez. Après la phase assez euphorique de l’installation de la solution informatique en elle-même – le site web communautaire de Psion par exemple – nous devrons revenir vers une notion fondamentale, celle qui nous permettra de toujours faire la différence : la créativité ! Et là, la génération de contenu va prendre une place de plus en plus importante dans la stratégie marketing des entreprises.
Stéphanie Michel Amato. Pourquoi externaliser la génération de contenu ?
José Perez. Je reste convaincu d’une chose : une chose ne changera jamais pour les responsables marketing c’est la nécessité d’avoir des professionnels, avec nous, qui savent produire, gérer et diffuser de l’information et du contenu métier pertinent. La génération de contenu est un vrai métier, avec ses techniques et ses méthodologies !
Stéphanie Michel Amato. Comment fonctionne cette externalisation ?
José Perez. Je travaille avec trois indépendantes de la communication qui prennent en charge les projets dès leur détection. Lorsqu’un cas client est identifié, c’est-à-dire que les conditions sont réunies pour faire de ce cas client un retour d’expérience à valeur ajoutée, la rédactrice s’organise avec l’attachée de presse pour gérer les autorisations, l’organisation des interviews et le suivi du projet. Elles identifient la nécessité ou non de réaliser une vidéo et si cela est le cas, elle intègre, dans la boucle, la réalisatrice. Elles prennent en charge tout le process, de la collecte d’information à la génération du contenu en passant par les autorisations de publication. Comme elles connaissent parfaitement notre secteur d’activité, cela limite mes interventions dans le process.
Stéphanie Michel Amato. Pourquoi travailler avec un réseau de consultantes indépendantes plutôt qu’avec une agence ?
José Perez. Mais je travaille avec une grande agence ! (rires) Elle a un nom un peu compliqué, AJEM Consultants, LCMA et GLC et elle a pignon sur rue ! Je rigole un peu mais, grâce au réseau Activ’3D, j’ai accès à un regroupement d’indépendantes qui travaillent en parfaite harmonie, qui se connaissent très bien et qui apportent, chacune à son niveau, un travail complémentaire et surtout un travail de qualité digne d’une grosse agence !
Quelques exemples de réalisations en matière de newsletters:Mairie de Saint-Jeannet et Captain Nason’s Group
C’est avec plaisir que nous vous invitons à partager nos dernières réalisations en matière de newsletters et lettres d’information. Deux organisations à vocation très différente – la Mairie de Saint-Jeannet et Captain Nason’s group, spécialiste de la plaisance – ont pourtant des besoins très similaires en matière de génération de contenu.
Dans le cadre de la Mairie de Saint-Jeannet, la communication est un élément important de la politique municipale qui favorise la transparence et l’information. Tout en gardant la maitrise de son journal, la municipalité a fait le choix d’externaliser la rédaction et surtout l’ensemble de la gestion d’un journal trimestriel de 24 pages minimum, afin de gagner en régularité de publication, en qualités rédactionnelles et éditoriales et en lisibilité et esthétisme du produit fini.
Captain Nason’s Group, groupe varois spécialisé dans les métiers de la plaisance souhaitait se démarquer de ses concurrents en réaffirmant son savoir faire et son expertise au travers d’un document à la fois capable de faciliter la diffusion de ses annonces de bateaux d’occasion et de présenter à ses clients les dernières nouveautés en matière de plaisance. Le choix s’est porté sur un « 8 pages » avec une option très qualitative afin que le CNN (Captaim Nason’s News) soit perçu comme n journal et non un prospectus…
Voici le résultat de l’association d’AJEM Consultants (rédaction) et de Publisoft (création graphique), tous deux membres du réseau d’experts Activ 3D.
Télécharger le premier numéro du CNN (Captain Nason’s News)
Télécharger le Bulletin Municipal n°8 de Saint-Jeannet