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Le principal intérêt d’un journal d’entreprise ou d’une newsletter est de permettre à l’entreprise de garder un contact récurrent avec ses clients et de leur transmettre, sous une forme originale des informations commerciales importantes. A condition que newsletter ne rime pas avec galère ! Cet outil, s’il est bien utilisé et appréhendé par l’entreprise, peut se révéler une redoutable arme commerciale et marketing ! Alors pourquoi s’en priver ?
De la difficulté de mettre en œuvre les newsletters et autres journaux d’information (sans parler des articles de blogs…)
Pour mettre au point et tirer pleinement parti d’une génération de contenu régulière au travers d’une newsletter, il est indispensable de parvenir à éviter les difficultés inhérentes à ce type de communication à savoir :
- Maintenir une périodicité qui permette de fidéliser ses clients sans condamner vos équipes à être perpétuellement en comité de rédaction (tous les mois c’est trop, tous les ans c’est peut être pas assez J!)
- Définir une ligne éditoriale qui soit basée sur du contenu de qualité – à visée commerciale d’accord mais du vrai contenu – et non sur une simple promotion de vos produits. Lister les dernières nouveautés de votre produit ou la promo du mois transforme vite votre newsletter en email (ou courrier) puremet commercial. En résumé, dans votre newsletter, vous devez aborder des sujets – centrés autour de vos problématiques métier – qui intéressent vos clients, qui les éclairent sur leur marché, qui leur apporte une vraie valeur ajoutée : astuces, dossier, interview, retour d’expérience, chiffres clés du secteur, etc…
- Limiter l’aspect chronophage de la newsletter en privilégiant la réutilisation (textes de blogs, tribunes d’expert, textes ud site web, etc.) et, si cela est possible, en confiant la rédaction des textes à une plume à la fois capable d’écrire des textes de qualité et de tenir compte de vos impératifs et objectifs marketing. Cela s’appelle un rédacteur marketing, un spécialiste de la génération de contenu, un copywriter… appelez le comme vous voulez : ni publicitaire, ni journaliste, il a développé une méthodologie de travail efficace, rédige des textes à visée marketing et génère du contenu métier en phase avec les attentes de vos clients.
Mettre en place une méthodologie qui privilégie la réutilisabilité et l’efficacité
Une newsletter ne nécessite pas systématiquement de réinventer la poudre. Vous disposez déjà de tout le matériel nécessaire pour alimenter vos journaux d’information à condition de générer régulièrement du contenu métier pertinent :
- Retours d’expériences clients
- Tribune d’experts
- Plaquettes produits
- Actualités et promotions
- Articles de blog
Tous ces éléments sont des sources non négligeables de contenu exploitable sous diverses formes et réutilisable aisément sur vos blogs, pages des réseaux sociaux et autres outils du web !
Organisation des interviews, gestion du contenu éditorial, respect de délais, relance pour la validation, suivi des graphistes, relecture… La méthodologie reste un élément majeur de la réussite de ce type de projet car nous le savons : ces outils sont souvent très chronophages et surtout… c’est un peu comme le sport. On n’a jamais le temps d’en faire sauf quand on met son cours de Pilates ou de Piloxing dans son agenda + alarme dans le smartphone. Pour les newsletters même combat !
L’envoi de newsletters et de journaux d’information fait partie intégrante de la stratégie de génération de contenu. Mais attention, pas à n’importe quel prix. Rappelez-vous que :
- Les newsletters doivent être pour vous le moyen de développer l’image de l’entreprise, pas de perdre votre temps et celui de vos équipes…
- Le plus important, ce n’est pas la newsletter en elle-même… c’est ce qu’il y a dedans… la qualité du contenu participe pleinement au succès de votre newsletter
- Écrire une newsletter nécessite une bonne dose de méthodologie et de rigueur, un zeste d’autorité et une bonne plume. Si vous n’avez pas les ingrédients en interne, faites cuisiner la recette à l’extérieur !
En France, on aime à citer en exemple nos amis québécois pour la pugnacité dont ils font preuve pour défendre la langue de leurs ancêtres sans savoir que chez nous aussi, des obligations existent. Au-delà de ces considérations législatives, localiser le contenu marketing et l’adapter au pays cible, loin d’être une contrainte, se révèle une véritable opportunité pour se démarquer de ses concurrents et développer la proximité avec ses clients.
Il est de tradition, lorsque l’on parle de sauvegarde de la langue française, de valoriser les actions de nos cousins québécois, eux qui ont su imposer, dans les entreprises, des comités de francisation. Peu de Français savent que notre législation en la matière est plus contraignante et plus répressive qu’au Québec. En effet, la loi nº 94-665 du 4 août 1994 relative à l’emploi de la langue française, dite loi Toubon, contraint, en particulier, les entreprises à fournir à leurs salariés toutes informations relatives à l’exercice de leur travail en langue française et à réaliser de nombreuses documentations en français. Général Electric, en 2006, a été condamnée à 500.000 euros d’amende pour non respect de la dite loi.
Cette vidéo, réalisée en 2008 par des québécois qui souhaitaient défendre leur patrimoine culturel, parle d’elle-même sur l’incompréhension qui peut naitre quand on ne parle pas la même langue ou le même langage. (Pour les impatients, vous pouvez aller directement à la minute 3:45).
Transformer une contrainte en véritable atout concurrentiel
Au delà de la conformité règlementaire, localiser le contenu marketing en fonction du pays où l’on souhaite vendre ses produits et services est un véritable atout concurrentiel, et peut-être plus en France, où, bien que la plupart des dirigeants parlent l’anglais, la langue française a toujours leur préférence. Nous sommes tous égaux : nous comprenons mieux notre langue maternelle que celles apprises à l’école… Ne cédons pas à la tentation du « tout anglais » même si, à l’heure des sites communautaires – et de la mondialisation – cela apparait sur le court terme comme un bon choix.
Penser global, agir local : notre langue de travail n’est pas forcément celle de vos clients
Localiser un contenu marketing ne consiste pas à traduire mot à mot un texte rédigé par sa direction marketing. C’est adapter son marketing et sa communication au pays que l’on cible, en y intégrant des données du marché local (habitudes de consommation, concurrents…) ainsi que les éléments culturels et économiques. Cela consiste à rédiger dans la langue cible et à aller parfois jusqu’à changer un nom de produit (une chaine de restaurant qui se nomme Gastro aura du mal à trouver des clients en France) ou réécrire un e-mailing. Localiser, c’est aussi générer son propre contenu marketing (newsletter, cas clients, livre blanc…), qui pourra avoir une réelle valeur ajoutée pour la « corporate » comme on dit.
Quelques idées reçues à oublier rapidement en matière de localisation
- Rédiger son site web et ses documents marketing en anglais sous prétexte que « tout le monde parle anglais » et que « c’est plus facile de maintenir une seule version du contenu » : ce syndrome touche aussi bien les filiales de groupes étrangers que – et c’est le comble ! – des entreprises françaises disposant d’offres à fort contenu technologique. Rappelons à ces dernières que si leurs futurs clients se trouvent partout dans le monde, certains sont français ainsi que les investisseurs et les journalistes… De plus, le français est une langue parlée en Afrique du Nord et de l’Ouest, marchés à très fort potentiel en ces temps de contexte économique difficile, ainsi qu’en Amérique du Nord. S’implanter en France sans version française de son contenu marketing est préjudiciable en termes d’image et en termes de stratégie marketing; surtout si le pays d’origine de l’entreprise est l’objet de tous les fantasmes : le copieur chinois, le plombier polonais, le centre d’appel sénégalais…
- Confondre langue et culture, tradition et pays : si français, ivoiriens, algériens et québécois parlent tous la même langue, ils n’ont ni la même culture ni la même histoire. Ainsi, les québécois sont, avant tout, des Nord-Américains qui parlent français avec leur propre vocabulaire : ils envoient des courriels, chauffent une voiture et vont souper. Attention également à ne pas faire d’amalgame simpliste sous prétexte que la culture de certains pays semble identique vue de France. Ce n’est pas parce que vous mangerez du couscous en Algérie ,au Maroc et en Tunisie que vous goûterez le même plat. Et la différence ne se situe pas uniquement dans les ingrédients: ces pays avec des histoires différentes et des problématiques politiques, économiques et technologique très variées. A travers le Maghreb, vous pourrez voir accès à Internet dans une oasis alors qu’il sera impossible en ville de réserver un billet d’avion avec une CB internationale. Vous-même, aimeriez vous que l’on vous confonde avec un espagnol ou un italien si vous êtes français ?
- Penser que parler une langue suffit à bien l’écrire et confondre traduction avec localisation : vous avez sûrement un cousin qui a faits des études aux USA ou si vous n’en avez pas, vous connaissez un traducteur qui fera l’affaire pour localiser vos documents. Bien parler une langue ou traduire des documents techniques ne signifie pas que l’on sait rédiger des documents marketing : tous mes clients parlent français et pourtant je rédige leurs plaquettes ou leurs témoignages clients… Oubliez les traductions au mot et « Reverso » et faites appel à des professionnels de la rédaction marketing, que les américains appellent des copywriters.
- Fournir des communiqués de presse en anglais à la presse française et vice-versa : non seulement les communiqués de presse français ne se rédigent pas de la même façon que les « press releases » anglo-saxonnes mais, en outre, la pénurie de journalistes dans les rédactions françaises n’est pas propice à la lecture de documents rédigés en langue étrangère.
Localiser son contenu marketing mais aussi son approche commerciale est une des conditions de la réussite d’un développement à l’international, que l’on soit une entreprise française qui cherche à se développer hors de ses frontières ou une entreprise étrangère qui désire s’implanter en France.
De l’utilité d’une tribune d’expert… la preuve en image…
Voici un lien vers la tribune d’expert publiée sur le site des Echos par Stéphanie Michel Amato. vous constaterez que cette tribune a attiré de nombreux lecteurs, qui ont eux-même tweeté ou partagé l’article, participant ainsi à la diffusion et au renforcement de la notoriété d’Ajem Consultants.
Ce type d’action de communication et de génération de contenu est aussi accessible à l’ensemble des entreprises qui souhaitent renforcer leur notoriété. si cela vous intéresse, commencez par lire l’article puis contactez nous au 06 86 36 53 08.
Les nouveaux enjeux des responsables marketing : passer de la recette miracle à la recette sur mesure
Cette discipline, définie par le Robert illustré comme « l’ensemble de techniques qui ont pour objet la stratégie commerciale et notamment l’étude de marché » – en résumé « Tout ce qui va m’aider à vendre mieux et plus » – , bref cette discipline évolue en même que notre écosystème se révèle en pleine mutation. Les 4 objectifs du marketing – entrer en contact avec des clients, les inciter à acheter, puis à utiliser le produit ou les produits et ensuite à les commander à nouveau – n’ont certes pas changé. C’est la façon d’y parvenir qui change car les acteurs du marketing et du développement commercial doivent faire face à de nouveaux enjeux qui influent directement sur la façon de faire du marketing mais aussi de concevoir les produits et d’établir la relation avec son client.
La globalisation: penser global, « marketer » local
Si je vous parle de la globalisation, ce n’est pas pour dire qu’il faut parler anglais ab-so-lu-ment et avoir peur des chinois ou des indiens. Je porte votre attention sur la globalisation car je suis convaincue, que l’on doit, plus que jamais, tenir compte des spécificités locales. Localiser son marketing est plus qu’un acte militant. C’est un élément clé de la réussite d’une entreprise.
Parler la langue du pays, adapter son vocabulaire et son offre produit et surtout produire du contenu dans la langue du pays sont autant de réalités incontournables pour les responsables marketing. Le marketing linguistique participe à la performance globale de l’entreprise car il crée la confiance et la proximité nécessaire pour le commerce. C’est pourquoi, les filiales françaises de groupes étrangers ne doivent pas hésiter à faire appel aux prestataires français pour adapter leurs outils d’aide à la vente, diffuser et rédiger leurs communiqués de presse, réaliser leurs cas clients et leurs livres blancs. Quant aux entreprises françaises, certaines devraient penser à rédiger leur site web en français avant de le faire en anglais. Pensez-vous qu’un client français aura envie de lire une documentation en anglais provenant d’une entreprise française ?
La RSE et le développement durable: plus qu’un enjeu global, un élément de différenciation forte
Véritable enjeu transversal pour toutes les fonctions de l’entreprise, le développement durable est un enjeu économique, règlementaire et stratégique sur le long terme. Mais c’est aussi un facteur de différenciation forte. Les consommateurs et clients attachent de plus en plus de valeurs aux marques. L’engagement dans le développement durable – à condition de ne pas verser dans le greenwashing – est un investissement qui rapporte !
Dans le cadre plus large de la RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise), le renforcement de la législation va dans le sens d’une meilleure information du consommateur et de façon générale vers plus de transparence et de sécurité. Sur le plan de l’éco-développement, de nombreuses activités, avec le Grenelle de l’environnement I et II sont impactées par de nouvelles lois: BTP, transports…
Le marketing est directement concerné par ces problématiques puisque que ces éléments nécessitent de revoir le discours commercial et marketing mais aussi de concevoir, d’acheter ou d’acheminer différemment les produits.
La révolution numérique: vers une digitalisation des marques
Depuis 10 ans le monde est numérique: la rue , la maison, l’entreprise, la consommation, l’administration, etc. De nouveaux consommateurs avec de nouveaux usages apparaissent. La génération Y a pris le pouvoir en attendant la suivante. Les usages du numérique se démocratisent.
Les entreprises comme les particuliers ont accès à de nouveaux outils pour communiquer avec leurs fournisseurs et leurs marques, que ce soit en matière de terminaux (ordinateur, smartphone, téléphone fixe, mobile, tablettes etc.), de canaux (internet, mobile, TV, etc.) et d’outils (réseaux sociaux, blog, site web, sms etc.). Des outils qu’il devient indispensable d’intégrer dans le parcours client. Un parcours qui devient toujours plus rapide et plus court parce que nos clients sont en attente d’une relation immédiate, d’une communication instantanée. Les temps d’accès à la marque se réduisent.
À cela s’ajoute le fait qu’un consommateur averti en vaut deux. Il est mieux informé grâce au web, il se fédère en communautés autour des réseaux sociaux et de sites spécialisés. Il devient difficile de maitriser la communication de l’entreprise dès lors qu’elle apparait sur le web. Les professionnels du marketing en peuvent plus ignorer l’importance de prendre en main sa communication sur le web. Et sa jumelle indissociable : l’e réputation.
Les chinois disent qu’une méthode fixe n’est pas une méthode ; c’est pour cela qu’une stratégie marketing n’est pas la déclinaison d’un livre ou d’une théorie mais bien la somme des expériences et du savoir-faire de terrain de chaque professionnel, capable de s’adapter à l’évolution du monde qui l’entoure.
Autant commencer par des questions simples : qu’est-ce qu’un logo et à quoi sert-il ?
Que vous soyez entrepreneur, artisan, commerçant, l’identité de votre activité est essentielle. Voilà pour l’utilité du logo. Cette accroche visuelle permet de vous identifier au premier coup d’œil.
Mais un logo c’est encore plus que ça ! Il doit aussi servir de vitrine et pouvoir évoluer ou être décliné selon les différentes tendances ou orientations commerciales.
Pour tout cela le graphiste aura besoin de décrypter vos goûts et vos ambitions au cours d’un échange direct. Le choix des couleurs, des formes de la typographie sont d’une importance capitale pour la conception d’un logo. Plusieurs visuels vous seront proposés et ils pourront alors, être modifiés ou corrigés selon votre appréciation.
Il est important d’écouter les conseils du graphiste qui vous apportera son expérience sur les choix des couleurs ou des typos les mieux adaptés à votre activité. Il n’est pas toujours nécessaire qu’un logo soit imposant pour être vu. C’est en cela que le rôle du graphiste est important.
Sur la forme du logo aussi, il pourra vous conseiller et vous proposer différentes déclinaisons pour l’avenir, sans changer pour cela votre identité commerciale.
Un logo est visible non seulement sur des cartes de visite mais aussi des flyers, des catalogues, du papier en-tête, des affiches ou encore (pourquoi pas ?) dans la PQR (presse quotidienne régionale), d’où l’importance de ne pas se tromper dans le choix de ce dernier.
Plus d’information à publisoft@wanadoo.fr ou sur la page de Corinne, notre expert en graphisme
Gwendoline Lune Communication – La griffe de vos relations presse
A pas de velours, Gwendoline met en œuvre un programme pertinent de relations presse pour faire connaître son client d’une cible choisie, accroître sa notoriété et le positionner en tant qu’expert sur son marché. Elle se distingue par la réalisation de documents clairs, concis et concrets, une relation suivie avec les principaux acteurs de la presse professionnelle (plus de 2 500 journalistes) et une expérience de plus de 20 ans dans les secteurs de l’Industrie, l’Informatique, l’Electronique, la Logistique et les Télécoms. Son aisance rédactionnelle, fruit de sa formation journalistique, lui permet de rédiger des tribunes d’expert et des témoignages clients qui génèrent de multiples articles dans diverses publications.
Tél : 01 48 97 78 16
Adresse : 75, avenue Parmentier 75011 Paris
E-mail : gwendoline-bodineau@orange.fr
Danielle Costantini – LCMA – Réalisation audiovisuelle spécialisée dans la communication d’entreprise
LCMA – La compétence audiovisuelle au service de votre communication d’entreprise
Danièle Costantini, 48 ans, est journaliste et documentariste. Après 15 ans de journalisme à TF1, elle crée LCMA Reportages, agence de réalisation audiovisuelle spécialisée dans la communication d’entreprise.
En matière de communication rien ne vaut l’image et le style JT !
un format court et percutant, de 1 à 3 mn pour viser l’essentiel du message dans un style journalistique percutant et efficace, exploitable sur tous les supports de communication online et offline.
C’est un virage vers la modernité pour les entreprises, les collectivités locales, les particuliers qui choisissent de communiquer par l’image.
LCMA Reportages , réalise des formats vidéo spécifiques aux sites Internet pour valoriser l’image des entreprises et accélérer leur développement commercial
Port. : 06.63.10.00.33
Email : dcostantini@wanadoo.fr
Corinne LEFEBVRE – PUBLISOFT – Création et identité graphiques , imprimerie
PUBLISOFT – Demandez-lui l’impossible !!!
Son goût de la communication, de l’édition, de la mise en page et de l’imprimerie ne date pas d’hier !
Depuis plus de 20 ans, Corinne Lefebvre exerce ses talents de graphiste, d’abord à Paris puis dans le sud de France où elle crée Publisoft, agence de création graphique qui développe avec ses clients des relations durables de confiance et les accompagne tout au long de la vie de leur entreprise.
Sa maîtrise de la chaîne graphique lui permet d’intervenir aussi bien sur de la mise en page complexe que sur de la création de logos ou de charte graphique.
Tél. : 04.93.93.22.67
Port. : 06.09.51.39.71
Email : publisoft@wanadoo.fr